De nouveaux livres Jeunesse à la Médiathèque
Max et Lili ont peur du noir – Max se trouve trop petit – La copine de Lili n’a pas de papa – Max et Lili vont chez Papy et Mamie – Max aime les monstres – Max se bagarre – Lili veut choisir ses habits…
Max et Lili ont peur du noir – Max se trouve trop petit – La copine de Lili n’a pas de papa – Max et Lili vont chez Papy et Mamie – Max aime les monstres – Max se bagarre – Lili veut choisir ses habits…
D’habitude si paisible, la petite ville de Promise Falls est en ébullition.
C’est d’abord un type ahuri qui débarque dans le bureau de l’inspecteur Duckworth en prétendant avoir été kidnappé et passé à tabac. Sur son dos, un tatouage l’accuse d’être un meurtrier. Et puis il y a l’affaire Jeremy Pilford. Ce gosse de riche arrogant, soupçonné d’avoir écrasé une jeune fille, vient d’engager le privé Cal Weaver pour assurer sa sécurité. Acquitté au tribunal pour irresponsabilité, l’adolescent se retrouve lynché dans les médias et harcelé par une meute d’anonymes.
Qui sont ces bons redresseurs de torts, ces social justice warriors rassemblés sur les réseaux sociaux, déterminés à faire payer les supposés criminels ? Quelles sont leurs intentions ? Et sont-ils toujours bien informés ? Alors que la ville ressemble à un champ de tir, Duckworth et Weaver ne seront pas trop de deux pour lutter contre cette chasse aux sorcières des temps modernes…
Un massacre dans une station-service
Un coupable tout trouvé : Telly
À 9 ans, il avait déjà tué…
Sharlah, 13 ans, n’a pas revu son frère Telly depuis le jour où, pour lui sauver la vie, il a mortellement blessé leur père, un homme alcoolique et violent. L’adolescent est aujourd’hui le premier suspect dans une affaire de fusillade… Pourquoi essaie-t-il de se rapprocher de sa sœur ? Sharlah est-elle en danger ?
En 2008, Julie, dix-sept ans, disparaît en ne laissant comme trace que son vélo posé contre un arbre. Le drame agite Sagas, petite ville au cœur des montagnes, et percute de plein fouet le père de la jeune fille, le lieutenant de gendarmerie Gabriel Moscato. Ce dernier se lance alors dans une enquête aussi désespérée qu’effrénée.
Jusqu’à ce jour où ses pas le mènent à l’hôtel de la Falaise… Là, le propriétaire lui donne accès à son registre et lui propose de le consulter dans la chambre 29, au deuxième étage. Mais exténué par un mois de vaines recherches, il finit par s’endormir avant d’être brusquement réveillé en pleine nuit par des impacts sourds contre sa fenêtre…
Dehors, il pleut des oiseaux morts. Et cette scène a d’autant moins de sens que Gabriel se trouve à présent au rez-de-chaussée, dans la chambre 7. Désorienté, il se rend à la réception où il apprend qu’on est en réalité en 2020 et que ça fait plus de douze ans que sa fille a disparu…
Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L’enquête de police n’aboutira jamais.
Des années plus tard, au début de l’été 2018, lorsqu’un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d’imaginer qu’il va se retrouver plongé dans cette affaire.
Que s’est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier?
Avec la précision d’un maître horloger suisse, Joël Dicker nous emmène enfin au cœur de sa ville natale au fil de ce roman diabolique et époustouflant, sur fond de triangle amoureux, jeux de pouvoir, coups bas, trahisons et jalousies, dans une Suisse pas si tranquille que ça
Corentin, personne n’en voulait. Ni son père envolé, ni les commères dont les rumeurs abreuvent le village, ni surtout sa mère, qui rêve de s’en débarrasser. Traîné de foyer en foyer, son enfance est une errance. Jusqu’au jour où sa mère l’abandonne à Augustine, l’une des vieilles du hameau. Au creux de la vallée des Forêts, ce territoire hostile où habite l’aïeule, une vie recommence.
À la grande ville où le propulsent ses études, Corentin plonge sans retenue dans les lumières et la fête permanente. Autour de lui, le monde brûle. La chaleur n’en finit pas d’assécher la terre. Les ruisseaux de son enfance ont tari depuis longtemps ; les arbres perdent leurs feuilles au mois de juin. Quelque chose se prépare. La nuit où tout implose, Corentin survit miraculeusement, caché au fond des catacombes. Revenu à la surface dans un univers dévasté, il est seul. Humains ou bêtes : il ne reste rien. Guidé par l’espoir insensé de retrouver la vieille Augustine, Corentin prend le long chemin des Forêts. Une quête éperdue, arrachée à ses entrailles, avec pour obsession la renaissance d’un monde désert, et la certitude que rien ne s’arrête jamais complètement.
Entre Lise et Louis, la rencontre produit des étincelles dignes des romans et des films que la jeune fille, rétive aux renoncements de l’âge adulte, confond parfois avec la vie. Leur histoire – le premier amour – se déroule tel un conte. Mais comme dans un conte, elle est rapidement minée par la petite musique de l’enfance mal aimée, le refrain des rapprochements impossibles, des différences infranchissables. Et bientôt la nuit des malédictions envahit le rose des rêveries romantiques.
Nimbé d’un mystère qui de page en page s’épaissit, Les Inconsolés est une histoire de fantômes et de vengeance, où l’on retrouve le talent délicat et têtu de Minh Tran Huy pour la navigation de l’eau qui dort – dont chacun sait qu’il faudrait s’en méfier.
Il y a l’élan vers l’amour fou, l’irrésistible faim d’aimer – et d’être aimé, enfin -, les blessures de l’enfance, le poids des origines et les émerveillements de la jeunesse. Il y a aussi cette manière toute personnelle, à la fois sincère et ironique, de pousser les clichés jusqu’à leur paroxysme, jusqu’à en extraire toute la vérité, en révéler le tranchant, les dangers.
Faut qu’on se tire d’ici.
– Et on ira où ?
– Je sais pas. T’inquiète. On trouvera.
– Et s’il revient ?
– Eh ben il reviendra.
– S’il s’en prend à tes parents ?
– C’est pas après eux qu’il en a. Qu’est-ce que Leila fout avec moi ?
J’ai tout juste dix-huit ans. Je vis chez mes parents. Je vais plus au lycée et j’ai pas de boulot. Je picole trop et je me bourre de médocs. Comment peut-elle croire que je suis capable de la protéger, de lui offrir quoi que ce soit de plus ou de mieux que son mec ?
Depuis qu’on roule elle m’a pas posé la moindre question. Elle m’a même pas demandé où on allait exactement. Je lui ai juste dit que je connaissais un endroit où on serait pénards. Et ça a semblé lui suffire…
Notre vie avait-elle irrémédiablement basculé ? Ne serait-elle plus jamais comme avant ? Étrange, cette notion d’avant et d’après. Je sentais que nous venions de perdre quelque chose d’essentiel. Aucune projection dans l’avenir. Aucun espoir. Rien. Le vide. Une ombre planait désormais sur notre vie. Et j’avais peur. Mais cette peur, je devais la canaliser, l’étouffer, l’éloigner, je ne pouvais me permettre de me laisser engloutir.
Un seul instant suffit-il à faire basculer toute une vie ?
La famille de Carole n’est pas tout à fait comme les autres. Elle a un petit quelque chose en plus : Marcel, leur fils aîné, a trois chromosomes 21. Lorsqu’ils apprennent la nouvelle, le jour de sa naissance, le ciel tombe sur la tête de Carole et Sylvain. Mais très vite, grâce à ce bébé débordant de joie de vivre qui les aide à affronter toutes les difficultés, ils décident d’être heureux et de faire de ce chromosome en plus la chance de leur vie.
Carole raconte sans tabou le quotidien de sa famille extraordinaire : la peur, les doutes, la colère, la complexité de la prise en charge médicale et des démarches en tout genre, mais surtout le bonheur de voir grandir un enfant, des parents, une famille.
Carole pose avec humour et tendresse son regard sur la trisomie 21, le handicap et, plus largement, la différence.
En 2017, sur le territoire français, 219 000 femmes ont été victimes de violence conjugale.
La violence physique démarre toujours par des violences invisibles qui sont entretenues le plus souvent par les protagonistes d’un échange :
* l’injonction (on parle sur l’autre, plutôt qu’à lui) – c’est la pratique abusive de la relation klaxon (à base de tu, tu, tu…);
* le maintien de la dépendance (en faisant
trop pour lui et pas assez avec lui), en le contrôlant, en limitant son autonomie;
* la pratique de la dévalorisation, de la disqualification (en montrant ce qu’il n’a pas fait ;
* l’usage de la menace, de la punition (qui l’infantilise et le met en doute) ;
* l’introduction de la culpabilisation (qui entretient une confusion entre sentiment et relation, en laissant croire à l’autre qu’il est responsable de son ressenti douloureux).
Fort de son expertise sur la communication, Jacques Salomé (avec son épouse)décrypte et analyse toutes ces phrases anodines toxiques qui sont le terreau d’une violence sous-jacente et nuisent aux relations de couple.
Paris, 1950. Eliza Donneley se cache sous un nom d’emprunt dans un hôtel miteux. Elle a abandonné brusquement une vie dorée à Chicago, un mari fortuné et un enfant chéri, emportant quelques affaires, son Rolleiflex et la photo de son petit garçon. Pourquoi la jeune femme s’est-elle enfuie au risque de tout perdre ?
Vite dépouillée de toutes ressources, désorientée, seule dans une ville inconnue, Eliza devenue Violet doit se réinventer. Au fil des rencontres, elle trouve un job de garde d’enfants et part à la découverte d’un Paris où la grisaille de l’après-guerre s’éclaire d’un désir de vie retrouvé, au son des clubs de jazz de Saint-Germain-des-Prés. A travers l’objectif de son appareil photo, Violet apprivoise la ville, saisit l’humanité des humbles et des invisibles.
Dans cette vie précaire et encombrée de secrets, elle se découvre des forces et une liberté nouvelle, tisse des amitiés profondes et se laisse traverser par le souffle d’une passion amoureuse.
Mais comment vivre traquée, déchirée par le manque de son fils et la douleur de l’exil ? Comment apaiser les terreurs qui l’ont poussée à fuir son pays et les siens ? Et comment, surtout, se pardonner d’être partie ?
Une mère, âgée, mais indépendante, se trompe de jour, de lieu de rendez-vous avec ses filles, achète des objets superflus et coûteux, oublie dans le coffre de sa voiture les fruits de-mer bretons, et se lève la nuit, croyant partir pour une destination inconnue. Cette femme est la romancière Benoîte Groult, la mère de l’auteure. Benoîte s’éteint en juin 2016, à 96 ans, écrivaine comblée, femme de combats remportés.
Mais ce que ce livre raconte, ce n’est pas juste le deuil, hélas prévisible, d’une mère admirée et aimée, mais un double deuil : voici le sens du titre, La mère morte. Le 1er avril 2016, la fille de Blandine de Cannes, Violette, 36 ans, est morte dans un accident de voiture. L’ordre du monde est renversé : Benoîte s’accroche à la vie, Blandine sombre, Violette n’est plus. De Benoîte Groult, sa fille a hérité l’humour et la force vitale.
Ce livre n’est pas triste, au contraire. C’est une réconciliation entre trois générations de femmes qui partagent le même « amour forcené pour la vie, toujours plus forte que tout », le credo de Benoîte transmis à Blandine.
Pendant des années, les rumeurs les plus folles ont couru sur » la Fille des marais » de Barkley Cove, une petite ville de Caroline du Nord. Pourtant, Kya n’est pas cette fille sauvage et analphabète que tous imaginent et craignent. A l’âge de dix ans, abandonnée par sa famille, elle doit apprendre à survivre seule dans le marais, devenu pour elle un refuge naturel et une protection. Sa rencontre avec Tate, un jeune homme doux et cultivé qui lui apprend à lire et à écrire, lui fait découvrir la science et la poésie, transforme la jeune fille à jamais. Mais Tate, appelé par ses études, l’abandonne à son tour. La solitude devient si pesante que Kya ne se méfie pas assez de celui qui va bientôt croiser son chemin et lui promettre une autre vie.
Lorsque l’irréparable se produit, elle ne peut plus compter que sur elle-même…
1878, Londres. Trois personnages gravitent autour du Lyceum Theatre : Ellen Terry, la Sarah Bernhardt anglaise; Henry Irving, grand tragédien shakespearien, puis Bram Stoker, administrateur du théâtre et futur auteur de Dracula. Loin d’une légende dorée où tous les pas mènent vers la gloire, la destinée de Bram Stoker se révèle un chemin chaotique mais exaltant. Dans ce livre inventif, Joseph O’Connor utilise toutes les ressources du romanesque pour donner vie au Londres foisonnant de l’époque victorienne. S’appuyant sur des personnages réels – outre Stoker, Irving et Terry ont aussi marqué leur temps –, il efface les frontières entre fiction et réalité. On croise ainsi le sulfureux Oscar Wilde, l’ombre de Jack L’Éventreur, ou encore… celle de Dracula. Plein de charme et d’esprit, ce roman annonce l’arrivée de Joseph O’Connor dans le catalogue de Rivages.
A l’école, il y a les bons élèves… et il y a Gustave. Depuis son radiateur au fond de la classe, ce jeune rêveur observe les oiseaux dans la cour, ou scrute les aiguilles de la pendule qui prennent un malin plaisir à ralentir. Le garçon aimerait rapporter des bonnes notes à sa mère, malheureusement ce sont surtout les convocations du directeur qu’il collectionne. Pourtant, Gustave est travailleur. Il passe plus de temps sur ses devoirs que la plupart de ses camarades, mais contrairement à eux ou à Joséphine, sa grande soeur pimbêche et première de classe, les leçons ne rentrent pas. Pire, certains professeurs commencent à le prendre en grippe et à le croire fainéant. A force d’entendre qu’il est un cancre, Gustave finit par s’en convaincre, sans imaginer qu’une rencontre peut changer le cours des choses. Parfois, il suffit d’un rien pour qu’une vie bascule du bon côté…
La jeune Phoenix, 23 ans, a le goût de la provocation, des rêves bien enfouis, et une faille terrible : il y a trois ans, son père, un scientifique, s’est tué dans un accident de voiture en allant rejoindre une autre femme que sa mère. Depuis, Phoenix le déteste. À cause de lui, elle a abandonné études et passions et enchaîne les petits boulots. Mais un jour, dans un carton qui dort à la cave, elle découvre la preuve que son père se sentait en danger. Ainsi qu’un appel à l’aide énigmatique, écrit dans une langue étrangère.
Et si elle s’était trompée ? Et si… la mort de son père n’avait pas été un accident ?
EN APPLICATION DES NOUVELLES MESURES DE LUTTE CONTRE LA PROPAGATION DU CORONAVIRUS DECIDEES PAR LE GOUVERNEMENT , LA MEDIATHEQUE EST FERMEE JUSQU’A NOUVEL ORDRE. POUR LES PERSONNES AYANT DES DOCUMENTS EN PRÊT, MERCI DE LES GARDER SOIGNEUSEMENT A VOTRE DOMICILE JUSQU’A LA REOUVERTURE. PRENEZ SOIN DE VOUS… A TRES BIENTÔT !
L’EQUIPE DE LA MEDIATHEQUE
Nez au vent, foulée légère, pour la toute première fois Julien goûte à la liberté. Il fuit sa vie ballottée d’une famille d’accueil à l’autre. Mais, vite repris par les gendarmes, l’orphelin est mené dans un centre d’éducation pour jeunes délinquants et vagabonds. Il trouve réconfort auprès de Tristan, un peu plus âgé et plus mûr, dont les parents, juifs, ont été déportés. Un jour, ils parviennent à s’enfuir, direction la Sarthe, que Julien connaît bien pour y avoir grandi. Là, leur destin sera lié à celui de la petite Marie, placée chez des fermiers qui la maltraitent.
Ces trois compagnons, que la vie n’a pas épargnés, vont alors s’enrôler dans un réseau de résistance…
Quel sera le prix de leur engagement ? Sacrifieront-ils leur enfance, leurs rêves au nom de leur combat ? Un hymne à la vie et à la jeunesse.
Chaque été, Teresa passe ses vacances chez sa grand-mère, dans les Pouilles. Une nuit, elle voit par la fenêtre de sa chambre trois garçons se baigner nus dans la piscine de la villa. Ils s’appellent Nicola, Bern et Tommaso, ce sont » ceux de la ferme » d’à côté, jeunes, purs et vibrants de désirs. Teresa l’ignore encore, mais cette rencontre va faire basculer sa vie en l’unissant à ces trois » frères » pour les vingt années à venir, entre amours et rivalités, aspirations et désillusions. Fascinée par Bern, personnage emblématique et tourmenté, viscéralement attaché à la terre somptueuse où il a grandi, elle n’hésitera pas, malgré l’opposition de sa famille, à épouser ses idéaux au sein d’une communauté fondée sur le respect de la nature et le refus du monde matérialiste, à l’image de la génération des années 90, tiraillée entre le besoin de transgression et le désir d’appartenance, mais entièrement tendue vers l’avenir, avide de tout, y compris du ciel.
Eté 1927. Unie à Henri par une passion toujours intacte, Pauline mène une vie douce entre les siens et le haras des Tilleuls, un des plus réputés de l’Eure. Seule ombre : la crainte mêlée d’aversion de Fanfan envers son père en raison de son visage mutilé par la Grande Guerre. Ce bonheur presque tranquille vole en éclats pour Pauline lorsqu’elle intercepte une lettre de l’hôpital Sainte-Anne à Paris : un patient amnésique et paralysé à la suite d’un traumatisme de guerre affirme s’appeler Julien Vautier. Dès lors, d’anciens soupçons de Pauline renaissent : celui qui habite la ferme familiale, Julien, son frère chéri, serait-il un imposteur ?
Pour la première fois depuis son mariage, Pauline agit en cachette d’Henri. Bientôt, la jeune femme est placée devant un cruel dilemme…
Iris est un » nez » de talent. A Grasse, dans les années 1960, munie des formules de parfum léguées par son père assassiné, elle lance avec succès des fragrances. En menant ses recherches sur le meurtrier de son père, Iris remonte le fil de l’histoire de sa famille et de ses origines…
Été 1986. David et Samuel ont douze ans. Comme chaque année, ils séjournent en Vendée, au bord de l’océan, dans le centre de vacances appartenant à Vermont Sidérurgie, l’employeur de leurs parents. Ils font la connaissance de Julie, une jeune fille de leur âge, et les trois enfants deviennent inséparables. Mais une ombre plane sur la station balnéaire et les adultes deviennent mystérieux et taciturnes. Puis, alors que la semaine se termine, Julie disparaît.
Trente ans plus tard, David est devenu écrivain, Samuel est son éditeur. Depuis le drame, ils n’ont jamais reparlé de Julie. Un jour, chacun reçoit une enveloppe. À l’intérieur, un manuscrit enigmatique relate les événements de cet été tragique, apportant un tout nouvel éclairage sur l’affaire.