Le 20 mai prochain, le Conseil Municipal sera appelé à acter la présentation du rapport d’activités générales 2019 de la Communauté de Communes de Beaucaire Terre d’Argence, ainsi que le rapport d’activités 2019 du service de collecte des ordures ménagères.
Ces documents, validés par le Conseil Communautaire, peuvent être consultés par le public :
Dans le cadre de la procédure – en cours – de révision du Plan Local d’Urbanisme, une étude d’impact environnemental a été confiée au Cabinet Barbenson Environnement (CBE) de Vendargues (Hérault), en perspective d’un aménagement urbain du quartier Peire Fioc.
L’étude débute ce jeudi 22 avril 2021 par une première prospection naturaliste ciblée sur la faune aviaire : il s’agira notamment d’étudier les oiseaux présents sur le site, en condition diurne (de 7h à 12h) puis nocturne (de 21h à 23h).
Ne soyez donc pas surpris d’entendre quelques appeaux ou d’apercevoir quelque lumière insolite, au cœur du quartier, au milieu de la nuit…
Le déficit pluviométrique connu depuis le début de l’année 2021 se poursuit en mars, avec un cumul de pluie de 52mm en janvier et février, inférieur de 94% à la normale saisonnière ! Et ce déficit de précipitation, qui perdure depuis plusieurs mois, a pour conséquence une recharge très limitée des nappes durant l’automne 2020 et l’hiver 2021.
Il y a plus de 50 ans aujourd’hui que le réaménagement progressif de l’ancienne route nationale 99, désormais RD.999, reliant Montauban dans le Tarn-et-Garonne à Plan d’Orgon dans les Bouches du Rhône, a « oublié » l’extrémité orientale du tronçon gardois, entre Manduel et Beaucaire.
Et depuis 50 ans les municipalités successives de Jonquières Saint Vincent se sont acharnées à demander la déviation d’une voie classée à grande circulation (15.000 véhicules/jour), autorisant le passage des convois exceptionnels (10 par jour en moyenne annuelle !), qui vient traverser et scinder l’agglomération jonquiéroise.
En 2005, première avancée avec une déclaration d’utilité publique du projet. Mais prorogée en 2010 car suivie d’aucun effet concret…
En 2015, nouvelle avancée significative avec l’acquisition des terrains d’assiette du projet par le Conseil Départemental. Puis plus rien.
En septembre 2019, le Département hasarde enfin une date : les travaux, phasés en trois tronçons (Redessan, Jonquières Saint Vincent et Magna Porta), débuteront « entre 2020 et 2022 ». Force est de constater aujourd’hui que l’on sera plus près de 2022 que de 2020 !
Pressés de communiquer un calendrier un peu plus précis de l’opération, les services du Département, et plus précisément la Direction Générale Adjointe Mobilité et Logistique, ont rencontré Jean-Marie FOURNIER, maire de Jonquières Saint Vincent, et ses adjoints Thierry PESENTI (urbanisme et environnement) et Eric ORTIZ (travaux et sécurité), le 22 mars dernier. Monsieur le Maire a pu exprimer l’impatience de la population, outre le souhait d’une communication plus directe et plus étroite avec sa municipalité.
Las, dès l’élaboration de l’étude d’impact environnemental initiée par le Département, des nuages noirs planent déjà sur le projet et son calendrier : il semblerait en effet que les services de l’Etat remettent en cause une partie du tracé retenu en 2005 dont on aurait découvert, depuis, la grande sensibilité écologique… Et le Département de chercher une solution alternative au tracé initial, pour le tronçon concerné.
Quant à l’exigence immédiate de la commune, qui porte sur le dévoiement du trafic de convois exceptionnels (des bateaux, des rames de métro, des chalets en bois, d’un poids souvent supérieur à 100 tonnes et d’un gabarit hors norme), les services du Département ont annoncé le lancement d’une étude de portance des ouvrages d’art affectés par une déviation vers les RD.135 (le chemin des canaux), RD.6113 (la route d’Arles), et RD.15 (de Bellegarde à Beaucaire). Résultat et rendez-vous dans six mois dans la perspective d’un arrêté municipal limitant, voire interdisant, la traversée d’agglomération jonquiéroise pour les convois exceptionnels…
Depuis la détection du virus influenza aviaire hautement pathogène H5N8 sur deux cygnes aux Pays Bas le 23 octobre, le nombre de cas dans la faune sauvage ne cesse de croître en Europe. Des foyers domestiques et des cas dans l’avifaune sauvage ont été confirmés non seulement aux Pays-Bas mais également en Allemagne et au Royaume-Uni. L’accélération de la dynamique d’infection accentue le risque d’introduction du virus en France via les couloirs de migration actuellement empruntés par les oiseaux sauvages. Face à cette situation, le Ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation Julien Denormandie a décidé de faire passer de « modéré » à « élevé » le niveau de risque d’introduction du virus influenza aviaire par l’avifaune en France métropolitaine ou dans les départements traversés par les couloirs de migration de ces oiseaux sauvages et dans les zones à risque particulier1. Cette décision a été prise après information des professionnels des filières avicoles et de la fédération nationale des chasseurs et consultation de l’Office français de la biodiversité. Julien Denormandie appelle au strict respect des mesures de biosécurité et à la surveillance accrue de la part des acteurs professionnels, des particuliers détenteurs d’oiseaux, et des chasseurs. A compter du 6 novembre, les mesures de prévention suivantes sont rendues obligatoires dans l’ensemble des départements classés en niveau « élevé » et dans les zones à risque particulier (ZRP) : claustration ou protection des élevages de volailles par un filet avec réduction des parcours extérieurs pour les animaux ; interdiction de rassemblement d’oiseaux (exemples : concours, foires ou expositions) ; interdiction de faire participer des oiseaux originaires de ces départements à des rassemblements organisés dans le reste du territoire ; interdiction des transports et lâchers de gibiers à plumes ; interdiction d’utilisation d’appelant. 1 Les zones à risque particulier abritent des zones humides fréquentées par les oiseaux migrateurs. La liste des communes concernées est définie par l’arrêté ministériel du 16 mars 2016 modifié. Les mesures suivantes sont par ailleurs maintenues obligatoires sur tout le territoire : surveillance clinique quotidienne dans les élevages commerciaux ; interdiction des compétitions de pigeons voyageurs au départ ou à l’arrivée d’un département cité ; vaccination obligatoire dans les zoos pour les oiseaux ne pouvant être confinés ou protégés sous filet. Des dérogations seront envisagées avec les acteurs dans le respect des textes applicables, en particulier ceux relatifs à la gestion actuelle de la crise Covid. À ce jour, la France est indemne d’influenza aviaire. La consommation de viande, foie gras et œufs ne présente aucun risque pour l’homme. L’influenza aviaire hautement pathogène est une maladie animale infectieuse, virale, très contagieuse qui affecte les oiseaux.
Le délégataire des services publics de l’eau et de l’assainissement, la société VEOLIA, dresse un point d’organisation et de fonctionnement du service de l’eau dans le contexte de propagation de la Covid-19.
> Concernant le service aux administrés
Les sites d’accueil Veolia sont ouverts aux administrés selon les modalités suivantes, pour garantir la sécurité de chacun :
Selon la situation locale : L’accès aux sites d’accueil s’effectue principalement sur rendez-vous. Un dispositif de prise de rendez-vous en ligne est mis à disposition sur internet. Il permet aux consommateurs de trouver l’agence la plus proche de chez eux et de choisir le moment de leur visite. La planification par rendez-vous permet de limiter le temps d’attente et de s’assurer plus aisément que la distanciation physique est respectée.
VEOLIA met en œuvre un respect absolu des gestes barrières et des consignes des autorités de santé. Ainsi, le port d’un masque est indispensable, à l’intérieur du site. Lors de leur rendez-vous, il est demandé aux consommateurs de se munir de leur masque et de leur propre stylo. Par ailleurs, une désinfection très régulière des locaux d’accueil est effectuée.
Si une personne présente des symptômes de Covid-19, VEOLIA ne sera pas en mesure de la recevoir. Le site internet et l’accueil téléphonique sont alors à privilégier.
Les services consommateurs numériques : démarches et informations disponibles 24/7
Dans un contexte de ré-accélération de l’épidémie de Covid-19, le fonctionnement optimal des accueils téléphoniques reste possiblement sujet à des perturbations, pouvant engendrer des délais de traitement épisodiquement plus long qu’à l’accoutumée.
VEOLIA invite donc les consommateurs à les contacter en priorité sur www.eau.veolia.fr, où ils peuvent effectuer l’essentiel de leurs démarches 24/7, sans avoir à se déplacer.
Face à une situation dont on ne saurait évaluer avec certitude la durée, les équipes de Veolia sont plus que jamais mobilisées pour mettre à disposition des citoyens consommateurs de services d’eau et d’assainissement, un panel complet de services numériques.
De fait, les derniers mois l’ont plus que jamais prouvé : les services numériques permettent de simplifier la vie des consommateurs, qui plus est en toute sérénité.
Besoin d’effectuer une demande ou de mettre à jour ses informations personnelles ? D’informations sur la qualité de l’eau, son prix et les éventuels travaux en cours dans sa commune ? De consulter ses consommations et de régler sa facture ? Envie d’opter pour des services pratiques comme le prélèvement bancaire, la mensualisation ou la facture électronique ?… Les sites internet et applications smartphones offrent toutes ces possibilités. Chaque consommateur a notamment accès à un esp@ce personnel sécurisé, pour effectuer toutes ses démarches en toute sérénité, de chez lui.
Beaucoup d’entre eux ont d’ailleurs basculé pendant la crise sur les outils digitaux mis à leur disposition. Qu’il s’agisse de transmission des relevés de compteurs, de règlement de factures voire de questions sur le service, le recours aux services numériques est en très forte augmentation.
> Surveillance du coronavirus SARS COV-2 dans les eaux usées
Comme nombre de virus, le Sars Cov2 est excrété dans les selles par les individus porteurs qu’ils soient ou non symptomatiques. Les eaux usées sont collectées et traitées au niveau des usines de dépollution. Les analyses réalisées sur ces eaux usées peuvent donner des indicateurs sur l’état de contamination de la population raccordée en amont.
Les publications scientifiques récentes ont montré que la quantité de matériel génétique de virus dans les eaux usées était un indicateur “précoce” de la santé sanitaire de la population, qui permet de connaître la circulation du virus sur le territoire communal et d’anticiper les évolutions de la situation au regard des indicateurs sanitaires tels que les taux d’incidences ou le nombre de cas déclarés de plusieurs semaines.
Cette approche innovante de surveillance épidémiologique dans les eaux usées fait actuellement l’objet de nombreuses recherches et initiatives gouvernementales et internationales. A ce titre, Veolia participe au programme OBEPINE (Observatoire Épidémiologique des Eaux usées), soutenu par le Ministère de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation. 150 stations d’épuration ont été sélectionnées par le réseau OBEPINE et seront suivies de façon régulière au sein de l’observatoire.
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