Nous avons installé des panonceaux « Espace sans Tabac » aux trois écoles ainsi qu’au Parc des Ateliers Municipaux, offerts par La Ligue contre le Cancer.
Espaces sans tabac : définition • Les Espaces sans tabac sont un des projets emblématiques de la Ligue contre le cancer depuis 2012 • Les espaces sans tabac de la Ligue contre le cancer concernent des lieux publics extérieurs, de préférence clairement délimités, où il est interdit de fumer: • Plage, plage de lac, plage urbaine, aire de jeux, espace vert, parc, jardin, • Abord d’école, • Espace extérieur hospitalier, stade…
Les espaces sans tabac répondent à de nombreuses préoccupations de notre société: • Fort soutien de l’opinion publique, • Favorables à la santé de la population, • Protecteurs de l’environnement, • Faible coût de mise en place • Générateurs d’économies pour les communes en lien avec les coûts d’entretien et de nettoyage.
Quels sont les objectifs des Espaces sans tabac ?
• Dénormaliser le tabagisme afin de changer les attitudes face à un comportement néfaste pour la santé, • Réduire l’initiation au tabagisme des jeunes et encourager l’arrêt du tabac, • Préserver l’environnement des mégots de cigarettes et des incendies, • Promouvoir l’exemplarité et la mise en place d’espaces publics conviviaux et sains.
Protéger les jeunes et encourager l’arrêt du tabac:
Protéger les jeunes • Le Centre International de Recherche sur le Cancer recommande de proscrire la consommation de tabac dans les lieux publics extérieurs afin de limiter les opportunités de fumer et ainsi réduire l’expérimentation du tabac et l’entrée dans le tabagisme des jeunes. Encourager l’arrêt du tabac: • De nombreuses études montrent qu’une réglementation encadrant le tabagisme dans les lieux publics peut également inciter les fumeurs à cesser de fumer. Les espaces sans tabac limitent les possibilités de fumer, réduisent l’acceptabilité sociale du tabagisme et accroissent le soutien aux mesures nationales de lutte contre le tabagisme.
Préserver l’environnement des mégots de cigarettes : Un mégot contient : • des milliers de substances chimiques et pollue à lui seul 500 litres d’eau, • des matières plastiques et met plus de 10 ans à se dégrader dans la nature. Chaque année, près de 30 milliards de mégots de cigarettes sont jetés dans les rues de France dont 350 tonnes juste pour Paris. Cette pollution a un coût : Le coût de ramassage des mégots est à la charge des collectivités, financé par les impôts locaux. Il est estimé à 38 euros par habitant et par an.
Notre commune a été reconnue sinistrée au titre des calamités agricoles à la suite de la sécheresse du 1er juin au 30 septembre 2019.
Deux modes de déclaration sont proposés aux agriculteurs sinistrés : - la télédéclaration via l'outil TELECALAM accessible à l'adresse : http://mesdemarches.agriculture.gouv.fr/. Le site TéléCALAM est accessible 24h sur 24h et 7 jours sur 7 pendant la période de déclaration fixée du 2 mars 2020 au 31 mars 2020; - la déclaration « papier ». Vous trouverez ci-joint le modèle de dossier de demande d'indemnisation, accompagné des notices départementale et nationale. Les agriculteurs de votre commune peuvent également se procurer ces documents auprès de mes services. La date limite de retour des dossiers à la DDTM est fixée au 31 mars 2020 . Les agriculteurs doivent faire parvenir leur dossier complet directement à la DDTM du Gard
Sa localisation à l’entrée de l’avenue de
Beaucaire, au niveau du giratoire de la RD999 et de la RD102, en entrée Est de
l’agglomération jonquiéroise, augurait du succès de l’aire de covoiturage
aménagée sous la maîtrise d’ouvrage de la Communauté de Communes Beaucaire
Terre d’Argence. D’autant que l’on y assistait, depuis déjà quelques mois, à une
pratique informelle et spontanée, qui garantissait l’optimisation de son
utilisation par les usagers.
C’est ainsi qu’a été inaugurée l’aire de
covoiturage de Jonquières Saint Vincent, le 13 février dernier, par Monsieur le
Président de la CCBTA et les élus de la commune.
De tels espaces permettent aux automobilistes
de laisser leur voiture pour la journée afin de partager le trajet en tant que
passager ; elles sont donc destinées à être pleinement occupées en
journée.
Inscrite dans le cadre du Plan Climat Air
Energie Territorial porté par la CCBTA, et financée au titre du Contrat Bourg
Centre Occitanie, l’aire de Jonquières Saint Vincent peut accueillir entre 15
et 20 véhicules. Le coût total de l’aménagement, à charge communautaire, s’est
élevé à 52.200€HT.
M. le Préfet du Gard a réuni le comité de suivi de la sécheresse le 06 septembre 2019 pour faire le point sur la situation hydrologique du département. En cette fin d’été, marqué par des températures élevées et des précipitations très inférieures aux normales, les déficits relevés sur les niveaux des nappes phréatiques et les débits des cours d’eau persistent. Pour les jours à venir, peu de précipitations sont annoncées, et les températures pourraient augmenter de nouveau après le 15 septembre selon Météo-France. M. le Préfet du Gard a donc décidé de : • Maintenir en vigilance les secteurs Dourbie, Rhône et Camargue . • Maintenir en alerte de niveau 1 les secteurs Hérault amont, Vistre – Vistrenque – Costières, • Maintenir en alerte de niveau 2 les secteurs Gardon aval, Cèze amont et Ardèche , • Maintenir en crise les bassins versants du Vidourle et de la Cèze aval, • Placer en alerte de niveau 2 le secteur Gardon Amont, ➔ En alerte de niveau 1, le remplissage des piscines privées, le lavage des voitures et le fonctionnement des fontaines en circuit ouvert sont interdits. De plus, des restrictions d’horaires pour l’arrosage sont mises en place. Sont interdits l’irrigation agricole et des jardins potagers entre 10h00 et 18h00 (sauf pour les modes d’irrigation économes en eau). Pour l’arrosage domestique (pelouses, jardins d’agrément…), les terrains de golf et les espaces sportifs, l’interdiction s’étend entre 8h00 et 20h00. ➔ En alerte de niveau 2, les interdictions supplémentaires concernent l’arrosage des espaces sportifs ainsi que celui des pelouses et espaces verts privés et publics. L’irrigation agricole et l’arrosage des jardins potagers sont interdits entre 8h00 et 20h00 (sauf pour les modes d’irrigation économes en eau), voire une nuit sur deux si l’eau est prélevée dans un cours d’eau ou dans sa nappe d’accompagnement. ➔ En crise, seuls les usages prioritaires de l’eau (liés à l’alimentation en eau potable, aux exigences de la santé, à la salubrité publique et à la sécurité civile) et l’abreuvement des animaux sont autorisés. ➔ Ces mesures de restrictions ne sont pas applicables aux usages dont l’eau provient de la nappe d’accompagnement du Rhône, du canal BRL alimenté par le Rhône, ainsi que de retenues dont l’eau a été stockée en période où la ressource était abondante. ➔ Sur les territoires classés en vigilance, il est demandé à chacun d’adopter un comportement écoresponsable, en utilisant l’eau de manière mesurée. Le détail de ces mesures est disponible sur le site des services de l’État dans le Gard http://www.gard.gouv.fr/ et sur le site PROPLUVIA http://propluvia.developpementdurable.gouv.fr/propluvia/faces/index.jsp .
Des contrôles, réalisés de jour comme de nuit, seront effectués pour vérifier le bon respect de l’arrêté sécheresse en vigueur, l’information de la population par les mairies et les autorisations administratives détenues pour prélever l’eau dans les nappes et les cours d’eaux. Plusieurs infractions ont été relevées depuis le début de la campagne de contrôles. Un nouveau point sur la situation hydrologique du département est programmé le 23 septembre prochain. Selon l’évolution de la situation, M. le Préfet du Gard pourra être amené à modifier les mesures de restrictions et de limitations des usages de l’eau
M. le Préfet du Gard a réuni le comité de suivi de la sécheresse le 8 août 2019 pour faire le point sur la situation hydrologique du département.
En raison des températures très
élevées et en l’absence de précipitations significatives sur les 2
derniers mois, les situations déficitaires déjà relevées sur les cours
d’eau et les nappes phréatiques se sont aggravées. Les températures
élevées dans certains cours d’eau et la prolifération d’algues
continuent d’impacter la qualité de l’eau des rivières.
La
chaleur et les faibles précipitations annoncées par Météo-France pour
les prochains jours, devraient accentuer les déficits sur les ressources
en eau du département.
M. le Préfet du Gard a donc décidé de :
placer le sous-bassin Cèze amont en alerte de niveau 2,
maintenir les sous-bassins Hérault, Vidourle, Ardèche (communes gardoises) et Cèze aval en alerte de niveau 2,
placer le secteur Vistrenque, Costières et Vistre en alerte de niveau 1,
maintenir les sous-bassins Gardons amont et Gardon aval en alerte de niveau 1,
maintenir les secteurs Dourbie, Rhône et Camargue en vigilance.
En alerte de niveau 1, le remplissage des piscines privées, le lavage des voitures et le fonctionnement des fontaines en circuit ouvert sont interdits. De plus, des restrictions d’horaires pour l’arrosage sont mises en place. Sont interdits l’irrigation agricole et des jardins potagers entre 10h00 et 18h00 (sauf pour les modes d’irrigation économes en eau). Pour l’arrosage domestique (pelouses, jardins d’agrément, …), des terrains de golf, et des espaces sportifs, l’interdiction s’étend entre 8h00 et 20h00.
En alerte de niveau 2, les interdictions supplémentaires
concernent l’arrosage des espaces sportifs ainsi que celui des pelouses
et espaces verts privés et publics. L’irrigation agricole et l’arrosage
des jardins potagers sont interdits entre 8h00 et 20h00 (sauf pour les
modes d’irrigation économes en eau), voire une nuit sur 2 si l’eau est
prélevée dans un cours d’eau ou dans sa nappe d’accompagnement.
Ces mesures de restrictions ne sont pas applicables aux usages dont
l’eau provient de la nappe d’accompagnement du Rhône, du canal BRL
alimenté par le Rhône, ainsi que de retenues dont l’eau a été stockée en
période où la ressource était abondante.
Sur les territoires classés en vigilance, il est demandé à chacun d’adopter un comportement écoresponsable, en utilisant l’eau de manière mesurée.
Des arrêtés de restriction d’usage de
l’eau plus contraignants peuvent être pris par les maires si la
situation sur leur territoire le nécessite.
Des contrôles,
de jour comme de nuit, seront effectués pour vérifier le bon respect de
l’arrêté sécheresse en vigueur et de l’information de la population par
les mairies.
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