
Rappel de La Préfecture du Gard et de l’ARS : les risques d’intoxication au monoxyde de carbone


La Municipalité, en partenariat avec la Ligue contre le Cancer, organise un stand de prévention, relatif au dépistage du cancer du sein, au rez-de chaussée de la Mairie, le Mercredi 20 Octobre 2021de 9h00 à 12h00.
L’isolement doit devenir le centre de notre stratégie contre le virus. Pour ne pas nous contaminer les uns les autres, il est essentiel de nous isoler dès que c’est nécessaire. Au moindre doute et dès les premiers symptômes, je m’isole et je fais un test :
Les moyens humains, logistiques et sociaux ont été renforcés pour mieux appuyer l’isolement des cas positifs et de leurs cas contact, en lien avec l’Assurance maladie, les collectivités, les associations. Les personnes identifiées comme cas contact peuvent demander un arrêt de travail en ligne sur le site declare.ameli.fr, notamment lorsqu’elles ne peuvent pas télétravailler.
Après avoir effectué la demande, il est possible de bénéficier d’un arrêt de 7 jours, débutant à la date à laquelle l’Assurance Maladie a informé le demandeur qu’il était cas contact.
Si la personne s’est isolée avant cette date, l’arrêt pourra être rétroactif dans la limite de quatre jours.
Si les résultats du test ne sont pas connus à la fin de l’arrêt, il est possible de demander une prolongation de l’arrêt dans la limite de 7 jours supplémentaires :
Un numéro vert national : 0 800 130 000 : un module dédié à l’isolement a été mis en place dans le cadre du numéro vert national (0 800 130 000), afin de donner des conseils sur la gestion de votre isolement ainsi qu’une orientation vers des dispositifs d’accompagnement médicaux ou sociaux si vous en avez exprimé le besoin.
La stratégie du triptyque Tester-Alerter–Protéger (T.A.P) doit continuer de s’appliquer.
Il faut avant tout savoir que le bruit est une nuisance, qu’il est donc réglementé, entre autres par le Code de la Santé Publique et le Code de l’Environnement, et qu’il fait finalement l’objet d’un arrêté préfectoral à l’échelle du Département (n°2008-193-7 du 11 juillet 2008).
Le principe est l’interdiction de tout bruit, de jour comme de nuit, émis sans nécessité ou sans précaution, dès lors qu’il est de nature à porter atteinte à la tranquillité du voisinage ou à la santé de l’homme du fait de sa durée, de sa répétition, ou de son intensité.
Pour éviter toute interprétation forcément subjective des notions de « durée », « répétition » et « intensité », le Préfet a fixé des limites horaires :
Pour les particuliers, les activités bruyantes (jardinage, bricolage, mécanique…) sont autorisées :
Pour les professionnels et pour les travaux publics :
Ces dispositions ne s’appliquent pas aux activités agricoles visant à la sauvegarde des récoltes (canons à grêle).
Elles ne s’appliquent pas non plus aux chantiers de travaux réalisés en urgence pour nécessité publique.
Et les manifestations festives traditionnelles font l’objet de dérogations permanentes, mais avec une limite horaire fixée par arrêté du maire.
Les infractions sont constatées par la Gendarmerie Nationale ou la Police Municipale, sans mesure acoustique, et donnent lieu à des amendes de 45 à 180€ (contravention de 3ème classe), ou de 1.500 à 3.000€ (contravention de 5ème classe).
A ce tarif, mieux vaut privilégier le respect entre voisins !